Alimentation vivante

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Méditation et nutrition

dimanche 1 juillet 2012, 

Méditez régulièrement et soyez particulièrement vigilants à la nourriture que vous prenez, et à tout ce que vous mettez dans votre corps.

Ça va dans les deux sens. Ce que vous faites physiquement a une influence directe sur votre corps lumineux, vos énergies ; et inversement, méditer et rééquilibrer vos énergies a une influence directe sur votre santé, votre corps physique.

Votre corps est un temple, il est la manifestation de l’énergie, le reflet de ce qui se passe dans votre âme, le témoin, sur le plan matériel, de vos états intérieurs.

Les nourritures vivantes nourrissent autant votre corps physique que votre corps de lumière.
Les aliments dénaturés ne conviennent pas.

Les nourritures qui contiennent un corps lumineux : tout ce qui est à l’état brut, non chauffé, non transformé, à l’état naturel.
Les nourritures dites vivantes qui ne contiennent plus de corps lumineux mais contiennent encore des vibrations : il s’agit d’aliments peu chauffés et non mélangés, cultivés dans le respect de la Terre (comme par exemple les graines germées dans le pain essène).


Quelques conseils :

Les produits laitiers, les graisses chauffées, les aliments raffinés (sucres, huiles, farines…), et tout ce qui en contient, sont des poisons pour votre santé. La plupart sont anxiogènes et déforment vos perceptions. Ils sont un véritable frein à une réelle ouverture spirituelle.

En règle générale, ne mélangez pas les protéines.
Si vous consommez des aliments transformés (cuits ou secs), commencez toujours votre repas par des crudités pour que votre corps n’ait pas besoin de fournir toutes les enzymes.

Le corps ayant besoin de peu en quantité, ne mangez pas si vous n’avez pas faim.
Pour ceux qui ont peur d’être carencés, sachez que c’est le trop et le dénaturé qui carencent ; peu et bien répond aux réels besoins et vous rend plus sensibles aux signes que vous donne votre corps, car il vous dirige vers les nourritures dont il a besoin.

L’idéal est de dormir le ventre vide, le repos étant plus profond. Il en va de même pour le sport, vous serez plus performants.


Attention : pour ceux qui cherchent à changer leur alimentation de manière radicale, si vous n’êtes pas sûrs de pouvoir vous y tenir, allez-y progressivement.

Chacun est différent et a des besoins différents.

Votre corps a également besoin de bouger, un minimum d’activités sportives journalières adaptées est nécessaire.


Votre chemin spirituel est un tout, votre vie est votre chemin spirituel, tout ce que vous faites en fait partie.

mercredi 5 septembre 2012,


Vous le savez...
Quoi que vous mettiez dans votre corps, ça a une influence directe sur votre santé, votre comportement, vos perceptions, votre évolution.

Se nourrir est un mode d'échange avec la matière et les lumières qui la composent.

Dans ce domaine, la simplicité et l'écoute ouvrent la voie.

la nourriture ne peut être liée à des croyances. Et que les principes sont une aide et non une fin en soi.


La voie intuitive est la plus directe, elle répond aux besoins réels de votre être entier dans l'instant même.
Cette voie tient compte de vous dans votre globalité, de votre quotidien, de vos activités, du contexte dans lequel vous vivez, de votre santé, du passé qui vous compose, de votre transformation en cours.
Elle vous fera souvent passer par les chemins les plus inattendus où les principes vont se chevaucher, quelquefois se confronter....
Elle vous orientera à votre rythme vers une nourriture lumineuse et consciente.
En confiance...!

Test sur les souris

Nous étions assis dans l’herbe à l’ombre d’un arbre et ce moment privilégié a ressuscité, dans une douce magie, l’époque qui a vu la naissance de l’instincto, il y a plus de quarante ans déjà. Quasiment de la préhistoire donc, et racontée par un très sympathique rescapé, s’alimentant toujours 100 % cru, qui a traversé le temps pour témoigner des premiers pas de l’instincto.

Jean-Daniel arrive à la ferme des Trois Noyers en 1965. Et déjà, dans la cuisine des Burger, quelques souris attrapées dans les champs servent de cobayes pour des expériences alimentaires sur le pain et les produits laitiers. Puis le nombre de souris augmente. Il y a des mulots, des musaraignes, toutes sortes de races et de tout âge. Finalement, pour une expérimentation plus rigoureuse, des souris blanches sont achetées à l’Institut suisse de Recherche sur le Cancer. Ce sont des souris de même race, de même âge, et présentant toutes une tare génétique les conduisant au cancer mammaire (souris C3H), ou au carcinome (souris AJ).

L’expérimentation durera dix ans, avec en moyenne entre 100 et 200 souris réparties dans quelque 25 cages. Elle engloutira les salaires de Jean-Daniel, professeur, de Guy-Claude et de sa femme Nicole. Initialement menées entièrement par Guy-Claude, ces expérimentations seront ensuite gérées au quotidien par une personne salariée. Trois salariés se succéderont.

Les souris sont réparties dans divers groupes alimentaires :

    * instincto
    * diététique
    * régime cuit
    * produits laitiers
    * pain

Les conclusions générales de cette expérience sont les suivantes :

a/ Le groupe le plus catastrophique est le groupe « diététique ».

Avec des dénaturations supposées minimes, cette alimentation se veut pourtant « hypotoxique » (= faiblement toxique). Elle comprend notamment du blé bio cuit à des températures inférieures à 100 °C. Des lots de souris sont alimentés avec du blé et autres aliments « bio » chauffés à 50 °C, d’autres avec des aliments chauffés à 60 °C, d’autres à 70 °C, et ainsi de suite. Certaines souris deviennent très maigres, tandis que d’autres grossissent énormément. Les souris se mangent entre elles ou meurent prématurément, d’elles-mêmes. Il n’y a pas besoin de les tuer pour la dissection.

b/ Les cages « cuites »

Curieusement les résultats sont moins mauvais qu’avec des dénaturations « douces ». Les souris sont nourries avec des patates cuites, de la viande cuite, du pain… Elles se mangent aussi entre elles. Mais ce qu’il faut retenir c’est qu’il y a globalement une amélioration par rapport à l’alimentation diététique.

c/ Les cages « lait »

C’est catastrophique. Les morts sont précédées de maladies fonctionnelles : diabètes, rhumatismes... Les souris « lait » sont reconnaissables par leurs yeux qui changent de forme, leur urine qui cristallise et leur lenteur : elles marchent de plus en plus lentement, elles boitent. Elles ne se mangent pas entre elles.

d/ Les cages « pain »

Les souris ont un comportement qui confine à la folie.

e/ Les cages « instincto »

Les souris sont nourries exclusivement avec du cru, notamment avec les déchets de la table crue de la ferme des Trois Noyers. Elles obtiennent les meilleurs résultats, notamment au niveau de la longévité, mais elles finissent tout de même par développer le cancer correspondant à leur tare génétique.

D’autres remarques intéressantes sont à noter :

    * une souris sauvage réagit habituellement à un bruit agressif en faisant un ou deux tours sur elle-même à une vitesse ultra rapide. Plus l’intoxication de la souris avec une alimentation dénaturée dure, plus la vitesse de ses tours diminue ;
    * pour les souris instincto, les urines s’évaporent en ne laissant pratiquement pas de cristaux. Si elles font une « exception » : un repas de pain, un seul repas suffit, leurs urines s’évaporant laissent alors des cristaux très visibles. Ceci pendant sept jours. Ensuite le volume de cristaux diminue largement mais reste anormal par la suite ;
    * une souris grise sauvage des champs à qui on fait subir le régime suivant, meurt : un jour sans manger, un jour de lait, un jour d’avocat. Elle meurt le lendemain, après avoir mangé de l’avocat.

Cette dernière remarque est très surprenante. Il semblerait que la détoxination du lait, que permettent les nutriments sains apportés par l’avocat, soit si violente que la souris en meurt.

Tous les résultats de l’expérimentation sont consignés, ainsi que les rapports de dissection.

En 1974, l’expérience s’arrête, pour de multiples raisons :

    * c’est une charge financière lourde, notamment pour Jean-Daniel ;
    * la salariée du moment, qui s’occupe de l’expérience, donne sa démission ;
    * suffisamment de résultats particulièrement probants ont été collectés ;
    * l’élevage de mouches qui permet de fournir des compléments alimentaires aux souris dégage une puanteur incompatible avec la vocation des Trois Noyers, devenu centre de stages et de conférences sur l’instincto.

En 1979, Guy-Claude alors plongé dans l’observation de manifestations extrasensorielles, interprète une vision comme un signe annonciateur de troubles politiques en Europe et décide de partir au Mexique. La ferme des Trois Noyers est vendue. Toutes les affaires sont transportées et stockées dans un local loué. Malheureusement, pendant son séjour au Mexique, Guy-Claude prend du retard dans le paiement de ce loyer si bien que le propriétaire décide de vider le local et de tout brûler. La totalité des archives sur l’expérience des souris part en fumée. 10 ans d’observations minutieusement consignées perdues à jamais. Seules les mémoires de Jean-Daniel, de Guy-Claude et des salariés conservent trace de cette expérience fondatrice qui a été un soutien fondamental pour l’élaboration scientifique de l’instinctothérapie.

On peut retenir de ces expériences des faits très marquants, et notamment :

    * les dénaturations thermiques et l’usage du lait sont très nocives ;
    * cela peut provoquer des maladies comme les rhumatismes ou des dérèglements du système nerveux que la médecine actuelle ne songe pas à attribuer à l’alimentation ;
    * les dénaturations « douces » sont encore plus toxiques !
      Guy-Claude proposait comme hypothèse explicative que des molécules faiblement dénaturées ont une partie de leur structure reconnue comme correcte par notre corps et sont donc utilisées dans les processus biochimiques du métabolisme. Mais comme ces molécules ne sont pas tout à fait conformes, elles induisent par la suite des blocages profonds du métabolisme.

En ce qui me concerne, cette dernière remarque est un point fondamental, qui vient relancer mes réflexions personnelles sur la pratique du cru, et dont j’espère vous faire part dans un prochain article.

Je noterai enfin que l’expérience de l’exception au pain avec les souris nourries crues et instinctivement vient corroborer mes propres observations : faire une exception n’est absolument pas anodin. Le corps met au moins une semaine pour s’en débarrasser. Il suffit donc d’une exception par semaine pour que l’instincto n’ait pratiquement aucune efficacité.


(MFI) Cette poudre blanche-là est parfaitement légale. Consommée avec une très grande modération, dans un régime sain, elle ferait peu de dégâts. Hélas, à raison de plusieurs kilos par habitant et par an, le sucre favorise de nombreuses maladies. Caries, diabète ? Certes. Mais des chercheurs le relient aussi aux troubles cardio-vasculaires, à l’ostéoporose, à l’entretien des inflammations intestinales, à la baisse immunitaire, au cancer.

Mais de quels sucres parle-t-on ?

La plus grande confusion règne. Elle vient sans doute du fait qu’en médecine on parle de « sucre » pour désigner le glucose nécessaire à nos cellules. « Nos cellules ont besoin de sucre », affirment médecins et diététiciens. Oui, mais la ménagère comprend « sucre blanc » : elle prépare alors de délicieux gâteaux à son mari ou ses enfants afin qu’ils aient « plus d’énergie »… et ne fait qu’aggraver leur pré-diabète! Les fabricants, ainsi que les puissantes agences chargées de promouvoir le sucre (blanc) ont, quant à eux, tout intérêt à entretenir cette confusion et à en minimiser les effets.
De fait, le glucose (et non pas le sucre) est le carburant qui permet à nos cellules de produire de l’énergie – les muscles et le cerveau, notamment, consomment beaucoup de glucose. Le glucose provient des glucides que nous ingérons. Ces glucides, qui devraient constituer 55 à 60 % de notre ration quotidienne, sont les principaux constituants des aliments suivants : légumes, algues (de mer et d’eau douce), fruits, céréales complètes (riz non poli, blé complet, etc.), et légumineuses (lentilles, fèves, pois chiches, haricots...). Notre organisme n’a pas besoin d’autres glucides ni d’autres « sucres » que de ceux-là.

La consommation explose

Pour le plaisir, on s’est toujours régalé avec quelques aliments très sucrés, dont la rareté faisait la valeur : jus de canne, sirop d’agave, miel… La demande a augmenté au XVIe siècle, suite aux grands voyages outre-Atlantique. La culture intensive de canne a connu son essor grâce surtout à l’esclavage des Noirs en Amérique – amer héritage. La suite : culture de la betterave en Europe, raffinage de la matière première permettant une production industrielle, publicité qui crée un faux besoin, explosion mondiale de la consommation, qui est passée de 8 à 120 millions de tonnes au cours des cinquante dernières années !
Au début du XXe siècle, chaque Français consommait 1 kg de sucre par an, 35 kg aujourd’hui. Aux Etats-Unis : presque le double ! Dans le Tiers Monde, beaucoup trop : que les sodas soient tournés vers Los Angeles ou La Mecque, ils contiennent 6 morceaux de sucre par cannette. Outre que du sucre est ajouté à des plats préparés ou à des conserves (petits pois, par exemple), l’industrie agroalimentaire a créé nombre de produits qui devraient être bannis de notre régime : sodas et jus de fruits du commerce, bonbons, biscuits, barres chocolatées, yaourts sucrés, glaces, pâtes à tartiner, corn flakes, confitures, ketchup, etc. Le sucre, évident ou caché, est partout !

Comment le sucre mine la santé

L’ingestion de sucre blanc ou des aliments qui en contiennent provoque une hyperglycémie (montée brutale du taux de glucose sanguin). Notre pancréas réagit en secrétant de l’insuline. Une hypoglycémie réactionnelle s’ensuit. Evident ou insidieux, le besoin de consommer à nouveau du sucre se fait sentir : vite, on boit ou on grignote sucré. Notre organisme est alors entré dans un cercle vicieux qui peut aller jusqu’au diabète, d’autant qu’un mode alimentaire sucré comprend toujours, à côté du sucre blanc, des céréales raffinées (riz blanc, pain blanc, biscottes) et des aliments à index glycémique élevé (les mêmes, plus la pomme de terre frite, en chips, au four ou en purée). L’excès de sucre entraîne une dépendance, et le sucre a été, avec raison, comparé à une drogue.
Vieillissement accéléré, baisse immunitaire

Privés de leurs vitamines et minéraux d’origine par le raffinage, ces sucres appauvrissent nos réserves en magnésium, calcium, ou chrome – un élément qui contribue, justement, à protéger du diabète. Ils favorisent les aigreurs d’estomac et les fermentations intestinales qui perturbent la flore bactérienne. Ce faisant, et toujours dans l’intestin, ils favorisent la constipation, diverses affections du colon, ou encore aggravent les mycoses (champignons), notamment le Candida albicans, cause de fatigues chroniques. Lorsqu’on sait qu’une bonne partie de notre immunité dépend de l’équilibre de cette flore ; que le sucre tend à nous carencer en cuivre, un oligoélément anti-infectieux ; et que, parallèlement, plus on absorbe de sucres, moins nos globules blancs réussissent à neutraliser les microbes, on comprend que les sucres raffinés font dériver notre terrain loin de la santé.
Ce n’est pas tout. Plusieurs études ont fait le lien avec les maladies cardio-vasculaires (Nasa Research Center) : le sucre, en effet, fait monter les triglycérides ainsi que le cholestérol LDL. Il peut favoriser des pathologies oculaires comme la cataracte et, par un phénomène que les scientifiques nomment glycation (liaisons anormales entre sucres et protéines), le vieillissement prématuré de tous les tissus de l’organisme. Des chercheurs y voient aussi un agent favorisant plusieurs cancers : du pancréas, de l’estomac, du côlon, de l’endomètre (Centre international du cancer de Lyon, Ecole de Harvard). Car aussi bien les bactéries que les champignons intestinaux et les cellules cancéreuses prospèrent grâce au sucre.

Henriette Sarraseca

D’où vient l’envie de sucre ?

· Du souvenir de saveurs sucrées primales : liquide amniotique et lait maternel
· Du souvenir des délicieux desserts de fête de notre enfance
· D’un conditionnement parental : un bonbon si on est gentil !
· D’un conditionnement publicitaire : une barre X, et ça repart ! Un soda Y et la vie pétille !
· D’un déficit en vitamines B (nécessaires entre autres à l’équilibre nerveux
· De l’usage exagéré du café, du thé ou du tabac : l’hormone stimulée par ces « dopants » (adrénaline) est suivie d’une baisse d’énergie… qui peut amener à manger sucré
· De champignons intestinaux qui réclament du sucre ou des farineux (il est presque impossible d’y résister)
· D’une baisse de moral favorisée par le déficit « messager » cérébral : la sérotonine
· D’un besoin de se rassurer, suite à un stress, à la solitude, à la dépendance affective, avec un aliment qui rappelle inconsciemment… le giron maternel

H. S.

Des pistes pour s’en sortir

· A moins de danger vital et imminent, il est très difficile de changer du jour au lendemain ses habitudes alimentaires : commencer par diminuer par deux les quantités d’aliments nocifs.
· Remplacer le mauvais sucre restant (blanc et produits en contenant) par du sucre « complet » ou « intégral » (le « roux » peut être du blanc coloré), des fruits séchés, des dattes, des sirops d’agave, de kitul, de céréales…
· Doubler en même temps les quantités de crudités, de légumes, de fibres (céréales complètes, fruits, légumineuses).
· Ne pas consommer de sodas ou jus de fruits du commerce pour se désaltérer : partout dans le monde l’eau en bouteille coûte moins cher. Utiliser des filtres ou la faire bouillir si elle est douteuse, car c’est le seul liquide nécessaire à la santé.
· Marcher, bouger, s’oxygéner : ça équilibre l’énergie et améliore le métabolisme.
· Apprendre à gérer les stress… autrement qu’en avalant n’importe quoi.
H. S.
http://www.rfi.fr/fichiers/MFI/Sante/1434.asp

Les fruits et les légumes

mardi 20 novembre 2012
C'est de cela qu'il faut principalement vivre. Un petit bémol toutefois, je voudrais noter, les légumes et les fruits.
Ce n'est que quand il fera particulièrement chaud, que le fruit prendra la première place dans notre panoplie alimentaire.
De part son apport en sucre les fruits " obligent " le pancréas à sécréter plus d'insuline et, de ce fait, la thermogénèse organique, entendez par là, la production d'énergie calorique baisse. C'est l'effet recherché. On crée à l'intérieur de soi la fraîcheur adéquate pour supporter la chaleur extérieure. Dans ce domaine ce sont les fruits qui sont le plus performants. Toutefois, pour absorber suffisamment de minéraux, d'oligoélément...ne mangez pas les légumes à la sauvette. Ils nous sont HAUTEMENT nécessaires.
Pensez simplement que de tout temps, l'homme s'est soigné avec des plantes sauvages, ancêtres de nos légumes et bien rarement d'un fruit quelconque.
Mais ne boudons pas notre plaisir. Si l'hiver nous avons su nous maîtriser, nous pourrons l'été venu, nous rassasier de fruits.
Petite remarque: les fruits exotiques se mangent chez nous, quand nos cerises, nos prunes, nos poires sont mûres, c'est à dire à partir de la mi-mai, jusqu'au mois, soyons large, de novembre.
En dehors de ces mois le fruit ne fait pas partie de l'alimentation naturelle dans nos contrées.
Je rappelle pour ne pas être à la cause des suicides de crudistes-fruits, que cette règle doit être suivie dans le quotidien de la vie, arguant du fait que les exceptions n'ont jamais tué quelqu'un, surtout si ces exceptions désamorcent des frustrations.
Le gros problème des crudivorisme. trop de fruits ( cela est vite fait)
et les troubles s'annoncent; frilosité, déchaussement dentaire, amaigrissement, Candida, Albicans, dépression, manque d'énergie, perte de la libido.
récapitulatif sur les inconvénients du sucre:
le sucre blanc, raffiné, est un sucre vide qui ne contient plus de minéraux. Sa métabolisation exige des minéraux pris dans l'organisme, avec une déminéralisation à la clé. Les fruits, dans une moindre mesure sont aussi pauvres en sels minéraux.
Les sucres rapides ( miel, fruits, sucre blanc...) créent des pics glycémiques contre lesquels l'organisme réagit en envoyant une surdose d'insuline dans le sang, d'où légère hypoglycémie dont le principal effet est de nous remettre à manger pour compenser!
Voilà le pourquoi de la fringale constante des fruitariens. Effet secondaire presque généralisé, la frisolité ou le nez qui coule.
On peut freiner l'effet du sucre rapide en ajoutant de la graisse au repas.
Par exemple des noix après les fruits crus.
Mais l'effet le plus important provient de la surcharge en sucre.
Que les sucres soient rapides ou lents, ils finissent par être intégrés à l'organisme sous forme de glucose.
Une fois sous forme de glucose il est bien évidemment impossible de reconnaître le glucose provenant du sure blanc, du glucose provenant du lait ou des fruits...
A ce niveau il n'y a pas plus bon ou de mauvais sucre mais tout bonnement du sucre en excès préjudiciable à la bonne marche organique.
J'ose espérer que le clou a été suffisamment enfoncé et que, c'est mon souhait en forme d'avertissement, tout lecteur aura à coeur de ne pas tomber dans le piège du fruit ou, du moins ne pas s'y complaire trop longtemps.

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